L’Institut François Neveux a pour objet la promotion et la diffusion de l’économie de communion par la collecte et la mise en ligne des bonnes pratiques, et la valorisation des résultats de la recherche universitaire confirmant l’efficacité de ces bonnes pratiques. L’économie de communion a été lancée en 1991, par le Mouvement des Focolari pour répondre aux enjeux de pauvreté dans le monde, en confiant aux entreprises la mission de répartir la richesse créée de manière juste entre toutes les parties prenantes et manquantes. C’est-à-dire les pauvres et les exclus, en particulier par la création d’emplois au juste salaire. C’est une économie inclusive et durable. La raison d’être de l’économie de communion est de contribuer à apporter des réponses à la question sociale, en pratiquant l’amour du frère au sein des relations économiques pour construire une Cité nouvelle où les pauvres sont rois. En conséquence, par vocation, l’entrepreneur de communion, comme le consommateur-épargnant de communion, ne sont pas dans la posture d’une attente de réponses à leurs besoins. Ils sont en attente d’un accompagnement, de méthodes, d’informations, pour devenirs des « outils » efficaces pour contribuer à régler la question sociale, ce à quoi ce site veut contribuer.
       François Neveux a été un entrepreneur exemplaire dans la mise en oeuvre des principes fondateurs de l’économie de communion. Il a donné un sens concret à la culture du don qui ordonne l’économie de communion. C’est pour cela que le site a voulu l’honorer et le donner en exemple en se dénommant  « François Neveux ».

Notre mission

Nous avons mal au ventre au spectacle d’une pauvreté qui s’étend au sein de nos sociétés occidentales qui n’ont jamais été aussi riches, qui sont de plus en plus riches.

Nous avons mal au ventre de voir ces familles détruites, par les petits-jobs, par le travail à temps partiel, par le chômage, par le chômage de longue durée, par la perte de confiance en soi, par la perte d’identité, par ce sentiment de ne plus contribuer au projet collectif, par l’exclusion de la vie économique et sociale.

Nous supportons de moins en moins cette civilisation de l’individu-roi, autocentré sur son intérêt à court terme, instrumentalisé par la technologie, instrumentalisant la nature, sans respect des générations futures.

Ce n’est pas plus de croissance qu’il faut, mais c’est plus de justice, tout de suite, dans la répartition de la richesse créée aujourd’hui. Au final, c’est l’amour du frère qui manque. C’est la relation socioéconomique qui est malade. Ce n’est pas seulement au système, c’est à nous d’abord d’apporter des réponses à la question sociale et à la question environnementale, en commençant par  reconnaître et par vivre que c’est l’autre, le frère qui est au centre, et non moi, au sein d’une relation d’amour de réciprocité, à l’image du Dieu-Amour Trinitaire qui nous a créé. Notre bonheur est moins important que le bonheur de tous, ce qui se vit par le don de soi à l’autre qui a la préférence.

Articles de l’IFN à retrouver ci-dessous.

Les fondamentaux

Mise en pratique

Identité

Spiritualité

Consommateur / Epargnant

Anthropologie

Ecologie intégrale / Socioéconomie

Entrepreneur

International

Collectivité territoriale

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